Nos activités quotidiennes sont de plus en plus guidées par les technologies de l’information et de la communication. Tous les jours, nous découvrons des innovations technologiques qui nous prouvent que notre monde tend vers une société numérique.
Pour occuper pleinement sa place dans ce sphère, le continent africain a besoin de ressources humaines qualifiées avec un esprit innovant.
En plus de cette qualification, il est certain qu’en matière d’emploi, l’informatique est un secteur très porteur où les postes à pourvoir augmentent d’années en années car les technologies utilisées évoluent. Dès lors, le numérique devient un tremplin qui permet à des milliers de jeunes d’accéder à l’emploi.
Dans un pays comme le Sénégal, les compétences existent, cependant, on note l’absence d’un certain « dynamisme économique » .Malgré que nous ayons des jeunes très actifs et très motivés.
En dépit de l’installation d’un géant comme Atos avec la construction d’un « Centre de compétences pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest qui va concevoir des infrastructures technologiques innovantes. », il est rare de voir les grandes multinationales confier certains de leurs marchés aux jeunes africains.
Pour Léger Djiba de Gatewaye4Africa beaucoup de bailleurs et de chefs d’entreprises jugent que l’Afrique manque de spécialistes dans le secteur des technologies de l’information et de la communication. Cela fait qu’énormément de marchés sont réalisés dans d’autres continents et rarement en Afrique.
Pour multiplier les chances du Sénégal, il nous faut plus de spécialistes dans les logiciels, les applications, le design, le réseau, le cloud, etc.
C’est dans ce cadre que l’organisateur de « La nuit du Code » a mis en place Africa Dotnet Users Group, une communauté des utilisateurs des technologies Dotnet en particulier et de Microsoft en général.
« Au Sénégal et un peu partout en Afrique de l’Ouest, nous avons créé une communauté spécialisée dans les Technologies Microsoft avec l’appui de Microsoft Africa. Ce qui permettra de délivrer des certifications aux membres afin de leur donner la possibilité de mieux valoriser les travaux qui seront réalisés avec ces technologies » explique monsieur Djiba.
Pour lui, faire partie de la communauté Africa Dotnet Users Group ouvre beaucoup d’opportunités du point de vue social, scolaire, universitaire et professionnel.
« Nous avons une conviction viscérale qu’un jour nous arriverons à faire du Sénégal et de l’Afrique en générale, une “Silicon Valley” où les jeunes vont aider leurs gouvernements à créer des emplois et non à les chercher. », ajoute -t- il.
Pour les jeunes développeurs qui souhaitent acquérir de nouveaux savoir- faire et travailler avec méthodologie dans la rigueur, peuvent adhérer à cette communauté dont le lancement aura lieu le 2 juillet prochain à l’Estel.
Pour participer, inscrivez-vous.
(Source : Social Net Link, 24 juin 2016)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000