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Les TIC jouent un rôle capitale en faveur du développement durable

samedi 23 juin 2012

Le rôle capital que jouent les technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’accélération de la mise en oeuvre des engagements en faveur du développement durable a été reconnu dans le document final de la Conférence des Nations unies sur le développement durable (Rio+20).

Adopté par les Etats membres de l’ONU, le document final de la Conférence Rio+20 définit les principes fondamentaux qui guideront la communauté internationale au cours des prochaines années, afin de faire progresser la cause du développement durable.

La Conférence Rio+20 qui avait pour thème "Le futur que nous voulons", a souligné la place prééminente qu’occupent les TIC pour faciliter la circulation de l’information entre les gouvernements et le public et pour promouvoir l’échange de connaissances, la coopération technique et le renforcement des capacités, à travers les trois piliers du développement durable que sont la croissance économique, l’intégration sociale et l’environnement durable.

Tout en réaffirmant leur engagement envers le Sommet mondial sur la société de l’information tenu en 2005, les Etats membres ont également souligné que "les technologies de l’information et de la communication peuvent faciliter la circulation de l’information entre les gouvernements et le public".

"A cet égard, il est essentiel de travailler à l’amélioration de l’accès aux TIC, en particulier du réseau à large bande et des services, et de combler le fossé numérique, en reconnaissant la contribution de la coopération internationale à cet égard", de façon à améliorer les services liés à l’agriculture ainsi que l’infrastructure des communications, notamment dans les pays les moins avancés et les petits Etats insulaires en développement (PIED).

Les Etats membres ont également reconnu la nécessité, pour les organisations concernées, d’établir une coopération et d’échanger des informations sur les systèmes d’alerte rapide ainsi que l’importance que revêtent les technologies pour l’établissement de cartes, l’observation et l’élaboration de politiques en faveur du développement durable.

"Il est satisfaisant de constater que la Conférence Rio+20, qui marque une étape décisive, a reconnu que les technologies de l’information et de la communication constituent des instruments essentiels pour parvenir à un développement durable", a déclaré à cet effet M. Hamadoun Touréle Secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (UIT), dont le siège se trouve à Geneve (Suisse).

"Les TIC sont un outil exceptionnel, efficace et économique, respectueux de l’environnement et inclusif, permettant d’alimenter une croissance verte et de créer des emplois, de promouvoir le progrès social et de garantir la protection de l’environnement ainsi que l’avenir durable que nous voulons".

La Conférence a invité la communauté internationale, notamment le système des Nations unies, à intégrer le développement durable dans ses programmes et initiatives, en demandant à toutes les parties prenantes d’aider les pays en développement à assurer un développement durable dans le cadre de politiques en faveur de l’économie verte et en plaidant pour un renforcement de la cohérence et de la coordination à l’échelle du système des Nations unies.

L’accord qui a été conclu représente l’aboutissement d’efforts engagés en 2011 par de multiples parties prenantes et s’inscrit dans le prolongement de la Conférence des Nations unies de 1992 sur l’environnement et le développement (Sommet de la Terre). Le rôle crucial que jouent les TIC et les réseaux à large bande a été reconnu par le Groupe des Nations unies sur la société de l’information (UNGIS), le ministère des communications du Brésil et plusieurs autres partenaires du secteur public, du secteur privé et de la société civile. Ensemble, ils ont donné plus de poids au message selon lequel les TIC sont des catalyseurs intersectoriels du développement durable.

(Source : Portail Algérien des Energies Renouvelables, 23 juin 2012)

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