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Le Sénégal va lancer un parc technologique sur les centres d’excellence africains

mardi 31 janvier 2017

Les Pôles d’excellence africains vont au bout d’un temps s’étendre au niveau mondial. C’est dans ce sens, indique Mary Teuw Niane, que le Sénégal a trois pôles en Santé, en mathématiques informatique et Tic, puis en agriculture. Les deux premiers étant retenus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a procédé au lancement, hier, du Centre d’Excellence SAMEF (Santé de la mère et de l’enfant) qui est logé au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Ces centres d’excellence africains, souligne le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, sont du niveau national. Il y a un partenariat avec toutes les universités, les institutions de recherche, de formation, avec des partenaires privés, internationaux et régionaux.

Les Pôles d’excellence africains vont au bout d’un temps s’étendre au niveau mondial. C’est dans ce sens, indique Mary Teuw Niane, que le Sénégal a trois pôles en Santé, en mathématiques informatique et Tic, puis en agriculture. Les deux premiers étant retenus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a procédé au lancement, hier, du Centre d’Excellence SAMEF (Santé de la mère et de l’enfant) qui est logé au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Ces centres d’excellence africains, souligne le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, sont du niveau national. Il y a un partenariat avec toutes les universités, les institutions de recherche, de formation, avec des partenaires privés, internationaux et régionaux.

“La qualité du travail présenté ici, constate le ministre, montre que ces centres sont en train de progresser. “Nous en sommes à la deuxième année et les résultats sont très positifs. Ils ont un impact très attendu sur les questions de santé publique pour le CEA- SAMEF et surtout le volet du Plan Sénégal Emergent qui concerne le numérique pour lequel notre pays souhaite assumer un leadership au niveau africain.”

Avec une enveloppe de seize millions de dollars US, la Banque mondiale appuie le fonctionnement des centres d’excellence africains pour la santé de la mère et de l’enfant à l’UCAD et les mathématiques, l’innovation et les technologies de l’information et de la communication à l’UGB.

En ce qui concerne le MITIC, le ministre a fait savoir que le Sénégal va d’ailleurs développer au niveau du nouveau Pôle urbain de Diamniadio, « un Parc technologique qui s’appuie évidemment sur les mathématiques, l’informatique et les technologies de l’information et de la communication (tic) ».

L’arrivée récente d’une entreprise internationale comme Atos qui a déjà recruté plus de 300 ingénieurs au niveau de leurs structures de développement le montre bien, souligne M. Niane.

oujours pour le CEA-MITIC, Mary Teuw Niane trouve qu’il y a un partenariat extrêmement important à travers la convention signée par ce centre d’excellence avec la République de Gambie pour la formation de 67 gambiens en master et doctorat en mathématiques, informatique et Tics.

Le professeur Aminata Sall Diallo représentante nationale du comité de pilotage des CEA a soutenu que ces centres d’excellence sont très importants tant pour le volet formation, que pour l’innovation. Elle a aussi évoqué l’accroissement nécessaire pour que ces ressources puissent évidemment progresser et être pérennes.

Ainsi, précise Mme Diallo, chaque centre reçoit de la Banque mondiale 8 millions de dollars, l’équivalent de 4 milliards de franc Cfa.

« Ce sont des financements au résultat, c’est-à-dire qu’il y a un projet, il y a des engagements qui, quand ils sont atteints, le décaissement suit. Cela veut dire que si vous n’avez pas de résultats, vous n’avez pas d’argent », a-t-elle expliqué. Il s’agit, ajoute-t-elle, d’un financement innovant qui progresse.

Ch. Seck Ndong

(Source : Social Net Link, 31 janvier 2017)

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