La mise en place et la fonctionnalité du programme e-gouvernement au Sénégal connaîtra une "avancée significative" avec le lancement grâce à un financement de la Chine de la seconde phase de l’intranet gouvernemental, estime le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l information et des télécommunications (RESTIC).
Dans un communiqué transmis dimanche à l’Aps, le RESTIC appelle l’Agence de l’Informatique de l’Etat, maître d’oeuvre de ce projet, à lancer une série de concertations avec "toutes les parties prenantes, aux premiers rangs, desquelles les entreprises du secteur TIC pour les associer et les impliquer étroitement dans toutes les phases d’exécution de ce grand chantier technique et technologique".
Le projet du e-gouvernement entre dans le cadre du Programme de modernisation des systèmes d’information de l’administration sénégalaise. Le gouvernement sénégalais et des autorités chinoises ont signé récemment un protocole d’accord prévoyant son financement par Pékin.
Le Rassemblement invite aussi l’Agence à prendre note de la Déclaration de politique générale du Premier ministre prononcée le 17 septembre devant les députés à l’Assemblée nationale.
Le chef du gouvernement avait déclaré que "l’encouragement à la modernisation de l’administration et des collectivités locales devrait générer un volume important d’activités pour les entreprises du secteur, ainsi que de nombreux emplois spécialisés, notamment dans le cadre des chantiers numériques identifiés pour construire le E-SENEGAL".
"Le RESTIC considère que l’accélération de la mise en place du e-gouvernement avec l’avènement de la phase 2 de l’intranet gouvernemental doit s’accompagner d’un important effort d’éducation et de promotion auprès des citoyens et des entreprises", souligne le communiqué.
Le texte ajoute que la communauté des TIC du Sénégal a un "rôle important" à jouer dans cet effort "si des moyens adéquats sont mis a sa disposition".
Le RESTIC invite "toutes les populations du Sénégal a s’approprier de cette innovation majeure qui est le e-gouvernement et d’en faire un levier incontournable dans la modernisation des rapports entre l’administration, les citoyens et les entreprises".
(Source :APS, 23 septembre 2007)
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