Pour la Banque mondiale, le marché kenyan de l’argent mobile nécessite une meilleure régulation pour davantage de concurrence. Dans un récent rapport (Information and Communications for Development 2012 : Maximising Mobile), la banque se demande pourquoi les différents opérateurs mobiles n’intègrent pas leurs systèmes.
Selon la banque, là où un service de mobile banking est tiré par un opérateur de réseau dominant (cas de Safaricom au Kenya avec M-Pesa qui détient 68% du marché), celui-ci pourrait être en situation de dicter les lois du marché. C’est pourquoi, explique le rapport, « des dispositions régulatoires complémentaires sont aussi nécessaires en ce qui concerne les questions de compétitivité et d’interopérabilité », car « des coûts d’entrée élevés pourraient avoir pour résultat un marché non compétitif dans le secteur de l’argent mobile ».
De ce point de vue, note le rapport, la mise en œuvre de l’interopérabilité pourrait réduire la domination exercée sur le marché, si un produit comme M-Pesa peut fonctionner avec d’autres services concurrents sans effort spécial de la part du consommateur.
(Source : Agence Ecofin, 20 juillet 2012)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000